« Ce blog ne pourra vivre que s'il est vivant, c'est à dire s'il permet à chacun de s'exprimer, soit en adressant des commentaires soit en publiant des articles. Nous espérons que ce premier numéro sera le début d'une aventure commune. »
Nous écrivions ceci en novembre 2018 dans l'éditorial du premier numéro de « ruedespuces ». Peu à peu, certains de nos lecteurs adressent leurs commentaires et nous les en remercions. Il a suffi d'un article un peu polémique pour que de nombreuses réactions nous parviennent, soit sous la forme de commentaires envoyés sur le blog, soit par des interpellations dans le village*. On peut donc se réjouir que le blog soit vivant et que le nombre de nos lecteurs ne cesse d'augmenter.
Pour continuer de façon positive, deux de nos contributeurs, sans s'être concertés, évoquent le bel été que nous venons de vivre, un autre nous explique les côtés positifs du tourisme dans notre région.
Ce numéro, comme vous pouvez le constater est mis en ligne plus tôt que d'habitude. Le mois de septembre étant traditionnellement celui pendant lesquels les retraités prennent quelques jours de vacances, votre serviteur sera le 15 septembre (jour où le blog aurait dû paraître) retiré dans un endroit privé d'internet pour une petite cure de désintoxication...chez les BA (Blogueurs anonymes).
*Après l'accusation portée au propriétaire de la Condamine pour avoir interdit la baignade à deux malheureux « papys » qui voulaient, dans l'eau fraîche, retrouver un peu de leur jeunesse, il nous semblait juste de passer la parole à la défense. Nous remercions les deux parties d'avoir donné leur version et ainsi participé à un exercice de communication entre gens civilisés. Chacun pourra se faire un avis. Il est à ce sujet intéressant de noter que le sujet n'est pas nouveau, en 1979 dans le numéro 23 du Coulassou,des riverains de l'Eyrieux écrivent:
« La vallée de l'Eyrieux n'a pas pour seule mission l'exhibition de cuisses et de canoës. Témoins les barrages qui s'y construisent. Les clôtures et barbelés qui jalonnent cette belle rivière ne sont que la légitime défense des riverains. »
Après ce bel été, nous vous souhaitons un bel automne.
François