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Editorial

Depuis un an, notre façon de vivre a sensiblement changé : Plus de fêtes, plus de manifestations culturelles, plus de rencontres au café ou au restaurant, on ne se touche plus, on ne se voit plus qu'à travers un masque. Cette déshumanisation a accéléré l'utilisation d'internet qui, déjà avait pris une grande place dans nos vies. Cette tendance ne s'arrêtera pas avec la fin de la pandémie mais risque bien au contraire de s'accélérer. On voit également les moyens de surveillances se développer et la venue de la 5G ne peut qu'accélérer le mouvement. Tout ceci menace nos libertés. Personnellement, je n'ai pas envie de vivre dans cette société où nous risquons d'être dirigés et surveillés par des machines.

« ruedespuces » en prenant exemple sur le « Coulassou » a été créé avec l'idée qu'il serait plus simple et plus économique de se servir d'internet. De plus, cela permettait des échanges mais, cette interactivité n'a à ce jour que très peu fonctionné.

Ceci étant dit, n'est-il pas contradictoire, après ces critiques de se servir de cette technologie pour continuer ce blog ? Comment faire pour être conséquent ?

De plus, le manque de commentaires et le peut de contacts que nous avons pendant cette pandémie ne nous permet pas de connaître l'intérêt que porte nos lecteurs à ce blog.

La question de la continuation de l'aventure « ruedespuces » se pose donc.

Dans ce numéro, on parle entre autres d'écoliers que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître, de tourisme, de forets à Sain-Martin, puis on y trouve un complément à l'article sur le père Lachaise, une réflexion sur la vie confinée, des jeux de mots et des aphorismes, sans oublier le troisième épisode de notre feuilleton

François Champelovier

Commentaires

  • Mon cher François ,
    le monde effectivement se claquemure dans son silence , dans son égocentrisme et dans cette déprime légère , une espèce de torpeur dans laquelle nous nous complaisons en ces périodes pandémiques. Churchill disait :" nul n'est besoin d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer". J'aime cette maxime qui résume pour moi la résilience,.... alors persévérons ! je te rejoins dans le fait que la rue des puces servait de support à nos échanges politiques et sociétaux tantôt aux glycines, tantôt au bar des pécheurs . Ces échanges me manque , mais que le magazine soit un blog sur internet ou un magazine sur papier glacé, cela ne change en rien ce manque . En tout cas là je ne pourrai pas te dire que "je t'ai lu d'un derrière distrait!"
    Amitiés et tiens bon

  • Bonjour à tous

    Je suis très attaché et tres intéressé par cette publication que je lis presque en entier chaque fois .
    Je vous invite à persévérer et vous assure de toute ma sympathie et tout mon soutien .
    Merci éncore

    Jluc

  • Merci Régis pour ton soutien et ta compréhension,
    François

  • Le lien social est "essentiel". La revue "rue des puces" en constitue un. Même s'il est virtuel, Il nous est précieux et en plus on ne risque pas d'attraper le virus en le lisant. Donc je vous encourage à ne pas lâcher l'affaire. D'autant que par expérience, je peux vous dire, que même s'ils ne se manifestent pas beaucoup de gens lisent la publication. Une petite remarque : les polémiques entre le directeur de la publication et RLD nous manquent. Réveillez-vous les gars, on aime bien quand ça pique un peu. Ce-n'est-qu'un-dé-but... continuons le com-.bat !

  • Merci Georges. Pour ce qui est des polémiques j'essaierai bien de "piquer" Régis, mais il est de plus en plus d'accord avec moi ! (c'est de l'humour)

  • Pas de panique défaitiste !
    La fonction « publication » est réalisée et la fonction « lecture » semble bonne. Il n’y a que la fonction « discussion » qui est à la traîne.
    Cela peut s’arranger avec une petite provocation… notre période actuelle est à secouer.
    Et puis j’ai encore du texte à proposer.
    Jean Claude

  • Cher Jean-Claude, pour la provocation je compte sur toi !!!
    François

  • salut François .
    les commentaire quand ils son de nature a juste dire les faits ( par rapport au chemin du cheylard a rochebonne ) son supprimé pour ne pas " choquer " .
    alors a quoi bon ?
    on vas bientôt discriminer les gens qui refusent le vaccin maintenant ?
    dans quel camp se trouve le blog ?
    david

  • Cher David, la discussion est intéressante quand on peut échanger des idées. Par contre les commentaires accusant des personnes qui n'ont rien à voir avec l'article ou qui sont hors sujet n'ont pas leur place sur le blog. Quant à savoir dans quel camp se situe le blog, les articles sont ouverts à tout le monde, de même que les commentaires, à condition qu'ils ne comportent pas d'attaques personnelles, de propos injurieux ou diffamatoires.
    Amitiés
    François

  • je n'ai accusè personne , j'avais juste dit que lors de l'entretiens du fameux chemin , le maire du cheylard a fait déplacer le policier municipal ( qui sous les ordre du maire ) et les gendarmes pour empêcher les membres du collectif " nos chemins ne sont pas a vendre " de nettoyer se bout de chemin . se qui n'as pas manquer de faire sourire un membre du collectif qui est un gendarme a la retraite , quand ils a vus débarquer les . . . gendarmes ! je n'ai pas d’animosité envers mr chabal t'inquiète . il y a des chose bien plus grave dans la vie et finalement se moment a été bien rigolo ( on a échappè au LDB 40 ) !
    quand aux vaccins ( avec chacun sa petite mixture plus ou moins efficace ) j'espère que l'on nous laisseras le choix .
    amitié
    david

  • Le "ruedespuces" est très longue: Elle descend la vallée de l'Eryeux,pour arrive dans la vallée du Rhône où elle se jette dans le TGV pour arriver à Paris. Ce n'est pas pour mourir au "Père Lachaise"! Elle n'est pas encore assez vénérable même si elle est déjà vénérée.
    En plus, les grands rassemblements sont encore interdits, même les chorales funéreraires.
    Va, tu sais maintenant François que nous sommes tous attachés à notre rue typique. Personne ne l'empreinte sans s'arrêter - soit en se décourageant de son inclinaison soit par fierté pour avoir déjà fait tout ce chemin. Mais elle ne laisse personne indifférente. belle vie à la grimpette!
    Christiane

  • Bonjour François,
    Je suis loin d’être un fanatique des réseaux dits « sociaux », je n’en consulte aucun, mais je ne suis pas non plus complètement « Amish » et chaque 15 du mois j’attends de pouvoir consulter le blog pour rester en contact avec Saint-Martin aussi, je crois que la réponse à ton interrogation tient dans le nombre de commentaires postés après ton éditorial du mois de mars.
    Continuons.
    Alain Amsellem

  • Merci Alain, après ces encouragements, on va bien être obligés de continuer !

  • Perso, j'ai toujours un sourire intérieur lorsque je vois apparaître "rue des Puces" sur mon écran. Rien que le nom et ça me démange d'entamer la lecture!
    Pour moi c'est un moyen de rester en lien avec Saint-Martin et ses environs, et de me projeter dans mon futur séjour boutiérois estival. En espérant que cette année je ne serai pas privée de ma traditionnelle pause au café sur la place à laquelle je suis particulièrement attachée.
    J'apprécie en tout cas la variété de vos articles et l'intérêt des sujets abordés.
    BONNE CONTINUATION!
    Monique

  • Merci, ça fait plaisir de savoir qu'on est lu !

  • Bonjour,
    Juste un petit mot, pour vous dire tout le plaisir que j'ai à lire le blog, ayant vécu mon enfance et mon adolescence à St Martin, j'habite depuis longtemps en haute Loire, mais je suis toujours de St Martin de cœur, je n'ai pas encore envisagé de participer au blog, même si je suis parfois tenté.
    Nous avions une petite association qui travaille sur la lecture et l'écriture du patois, malheureusement elle est en sommeil depuis plus d'un an, mais nous avons quelques textes que nous avions travaillé, nous pourrions peut être vous en proposé quelques uns, si cela vous intéresse, après en avoir discuté avec les autres membres de notre association.
    En tout cas merci pour ce lien avec St Martin,

  • Nous serions bien sûr heureux de pouvoir publier des textes venant de votre association. Le patois altiligérien doit pouvoir être compréhensible par les Boutiéroux !
    François Champelovier

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