A propos de l'article « Saint-Martin-de-Valamas : "Autrefois, un foyer industriel" paru dans le numéro de décembre, d'aimables lecteurs nous ont fait part d'erreurs ou d'oublis.
En ce qui concerne Saint-Julien d'Intres, il s'agit de 2 entreprises : Les Etablissements Blanchard et les Etablissements Bacus.
Etablissements Blanchard :
« BLANCHARD est doté d’un savoir-faire reconnu dans le guipage et le moulinage de fils, l’utilisation des métaux et la guimperie métallique, le laminage de fils métalliques, la découpe de films techniques et fonctionnels en fils et en rubans.
Nous fabriquons des fils aux caractéristiques très diversifiées pour le textile traditionnel moyen et haut de gamme ainsi que les surfaces souples à forte composante d’innovations techniques. »
Etablissements Bacus :
« Artisan spécialisé dans la confection de galons, tissus, franges passementerie depuis 1908
La maison Bacus cultive et rassemble des savoirs faire de broderies, passementeries, tissus, dentelles, fils et accessoires. Nous produisons en France une large sélection de créations appréciées dans le monde entier par les grandes maisons de couture, de prêt-à-porter, de lingerie, de corsetterie, de maillots de bain, de décoration d'intérieur...
Le monde du spectacle, de l'opéra, des films, des chanteurs, des artistes viennent également chercher des productions spéciales. »
Les établissements Bacus emploient une dizaine d'ouvriers
Il manque, pour Arcens, l'usine dite des Pierres à briquet qui, avant et après cette fabrication, est une centrale hydroélectrique.
Son histoire est sur le site :
http://www.atelierpatrimoine.parc-monts-ardeche.fr/inventaire/consultez-et-participez/centrale-electrique-et-usine-de-pierres-a-briquet-de-la-sagne-154.html
Il y avait aussi la société Gemtec qui fabriquait des bijoux, située dans l'atelier occupé par Cypack. Sans que cela soit industriel, bien qu'il y ait eu jusqu'à 10 ouvriers, on peut aussi citer la scierie située au lieu-dit le Chambon.
Merci à Isabelle Roche et à J.C. Ribeyre de nous avoir signalé ces erreurs et ces oublis. Quant à l'auteur de l'article, il sera obligé de nous payer le café.
François Champelovier