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Petit coucou au Coulassou

« ruedespuces » s'en étant inspiré, nous avions espéré pouvoir dans ce blog reproduire de temps en temps des articles du Coulassou. Après avoir demandé la permission à M. Jean Chevalier, nous avions reçu la réponse suivante :

 

« Au fil des ans, plusieurs demandes nous sont parvenues, de l’Ardèche et de départements limitrophes, pour publier des extraits du Coulassou, et j’avais décidé, dès la première demande, de ne pas donner notre accord, car il aurait fallu pour cela, à chaque demande, contacter et obtenir l’accord de toutes les personnes impliquées dans la rédaction – car nous avions un fonctionnement très "démocratique " – ces personnes s’étant éparpillées au fil des ans, et cela aurait été difficile et compliqué.
Après avoir refusé à plusieurs reprises, nous ne pouvons donc pas changer notre ligne de conduite sans risquer de nous attirer des inimitiés de la part de personnes ou d’organismes qui ont par ailleurs toute notre estime.
Je suis donc au regret de ne pouvoir répondre favorablement à votre demande. »

 

Nous pensons néanmoins que nous pouvons reproduire le passage suivant étant donné qu'il a été prononcé en public par Régis Fayard, maire de St-Martin, lors des vœux pour l'année 1980. (Coulassou n°25)

 

« Je voudrais dire à tous, que nous connaissons bien les difficultés de l'heure, que nos moyens ne sont pas très étendus pour y remédier, et que nous sommes conscients, nous même de nos limites. Il nous arrive de nous attrister, non pas certes de ne recevoir ni encouragement ni merci. Nous savons bien que la critique est aisée et l'art difficile et que celui qui tente malgré tout de faire quelque chose n'est jamais unanimement approuvé. Nous ne sommes là ni par intérêt, ni pour être loués. Non, ce qui nous fait mal parfois, c'est de trouver beaucoup trop d'égoïsme à la place de la solidarité dont nous avons tant besoin... 

 

Ce texte est toujours d'actualité, à part la dernière phrase car entre temps, St-martin a bien changé. Il n'est qu'à voir le dynamisme des nombreuses associations et le nombre de bénévoles disponibles à l'occasion des nombreuses manifestations.*

 

*Le comité de rédaction me fait remarquer qu'il faut que je rajoute : Ceci n'est pas du second degré !

 

François

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