j’ai le plaisir de vous présenter
MON NOUVEAU LIVRE :
«Les disques qui craquent»
J’avais envie de vous raconter mes débuts de musicien, la découverte de mon amour pour la musique.
Inscrits dans l’évocation des années 60.
Et tout ce qui faisait la vie d’un babyboomer de l’époque : l’école, l’apprentissage, la famille, les amis, les idoles, les boums, les sorties en bande, les disques (qui craquent).
Et les séquences désopilantes de mes premiers orchestres de rock : les « O7 » de Saint-Martin de Valamas, les « Spectres » du Collège Technique de Valence, les « Screamers » de Lyon.
Je l’ai écrit dans un style littéraire que je qualifierai de «naïf et amical», quelquefois en langage parlé, comme si j’ouvrais pour vous mon livre d’images et nous regardions ensemble des photos de jeunesse. Puis que je vous les commente avec sincérité et émotion.
Je vais parler dans ce livre de cette décade «prodigieuse» qui commence en 1960.
J’ai commencé à l’écrire avec des textes que je postais chaque jour et dans un certain désordre chronologique sur Facebook. Ils étaient ensuite enrichis des commentaires personnels des lecteurs qui me faisaient des propositions de thèmes sur lesquels je rebondissais.
Ce livre sans prétention traite de nos débuts approximatifs de jeunes musiciens, qui ne possédaient pas d’instruments, n’avaient aucune culture musicale, ni mentor ni encouragement, pas de cours de musique, (1 heure par semaine au Collège - solfège anonné avec un pipeau en plastique) juste mus par un désir irrépressible de jouer de la guitare et d’imiter nos idoles.
Et ce récit me permet aussi d’évoquer la France des années 60, si différente.
Pour nous, elle est encore proche mais pour la plupart des jeunes, si lointaine dans le temps qu’ils nous prendront pour des dinosaures : les années 60… la vie quotidienne des gens, les quartiers, les rues, la mode, la pénurie d’un peu de tout. Le marché aux puces du Tonkin, les bals, les boîtes, le Palais d’hiver, les concours d’orchestres, les appelés du contingent, les clubs de danse, les rapatriés d’Algérie, nos potes issus de l’immigration, le marché-gare, le Wimpy, les beatniks, les mobylettes.
Mon souhait ce serait que mes évocations vous replongent dans l’air de ce temps et fasse renaître en vous les images de votre propre jeunesse.
Et que vous vous disiez… «putain comme c’était bien».
Dans ce que je raconte je ne cherche pas la vérité à tout prix, en particulier quand je parle des groupes de musique, des chansons et des lieux.
Et dans les choses que j’évoque certains lecteurs relèveront des erreurs, et sans doute certains en sauront plus que moi.
Je dis ce que je sais, ce dont je me rappelle, et même quelquefois du peu que j’en connaissais à l’époque.
Ce que j’écris c’est juste l’écho assourdi de l’idée que je me faisais des choses, de ce qui m’est resté en mémoire et des personnes que j’ai connues ou que j’ai croisées.
J’ai sûrement, dans ma façon de raconter, gardé la naïveté du jeune ado inculte que j’étais. (Et que je suis toujours)
Mais je suis content de ce que j’ai écrit, car pour ceux qui vont me lire, même si c’est maladroit, c’est sincère. Et je sais que nous allons, le temps de la lecture, partager quelque chose : le chouette souvenir de notre jeunesse et des années 60 et cette idée me plaît beaucoup.
NB : ce livre est vendu au profit de Yanis. (que vous connaissez)
Son prix est de 10 euros.
Vous pouvez me le commander en me laissant un message dans les commentaires ci-dessous.
Ou bien dans Messenger
Ou bien en m’envoyant un e-mail : georgesverat.medley@gmail.com
Pour ceux qui ne veulent pas allumer leur ordinateur, vous pouvez me le commander par téléphone, mon numéro : 06 52 28 84 19
Si vous n’habitez pas trop loin je vous l’apporterai en main propre ou bien je vous indiquerai l’endroit où je peux vous le déposer.
Si vous habitez loin je vous l’enverrai, il vous en coûtera 16 euros avec les frais de timbre.
Pour le paiement, vous pourrez, pour ceux que je vois régulièrement, me donner les 10 euros en liquide.
Ou bien faire un chèque ou un virement à l’ordre de l’association «pour Yanis» dont je vous communiquerai le RIB.
Pour mes amis de l’Ardèche, les livres seront dispos prochainement chez Régine Brunel, la grand-mère de Yanis et vous pourrez lui donner les 10 euros directement.
TOUS LES BÉNÉFICES SERONT REVERSÉS À L’ASSOCIATION.
Ne tardez pas à me le commander car pour le livre précédent (pour le petit Marc) j’ai été vite en rupture de stock et je n’ai pas pu servir tout le monde.
Si vous désirez suivre l’actualité de l’Association « pour Yanis » sur internet, ou communiquer avec sa grand-mère Régine Brunel, je vous enverrai les liens.
Georges Verrat