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Editorial

Comme si les menaces de reprise du virus ou les signes du dérèglement climatique ne suffisaient pas, cet été commence avec une météo capricieuse et de nouvelles contraintes sanitaires.

Malgré l'arrivée des touristes, le village est endormi,. Le feu d'artifice du 14 juillet* et les embouteillages du Garail semblent être les seules attractions de l'été. Saint-Martin-de Valamas, le village des musiciens, qui n'a même pas célébré la fête de la musique verra son beau festival de musique réduit à une soirée (covid oblige) Les seuls lieux dynamiques sont :la Cerreno où l'arrivée des beaux jours a été fêté le 7 juillet et la Nouvelle Manufacture avec son festival de dessin et autres manifestations. Heureusement, au Cheylard et dans les villages environnants concerts, pièces de théâtre ou autres événements sont nombreux et semblent moins affectés par les mesures sanitaires.

* (Après l'annulation du feu d'artifice il ne reste plus que les embouteillages.)

 

A treize heures, la cloche de l'église sonne une foiscloche.jpg

A quatorze heures, la cloche de l'église sonne deux fois

A quinze heures, la cloche de l'église sonne trois fois

Toutes les heures

A Saint-Martin-de-Valamas

Quelque chose se passe

 

Même pendant les vacances, sans passe sanitaire ni masque « ruedespuces » vous accompagne ! on y retrouvera le feuilleton (Et si le monde de demain n'était pas du tout à la hauteur de nos espérances ?), la suite des billets consacrés aux débuts du tourisme dans notre région, en plus d'autres articles sur les effets météorologiques des dernières décennies ou sur l'exode des huguenots, une petite leçon de linguistique et bien sûr notre rubrique « j'ai lu » et enfin une nouvelle contributrice nous parle de la plus belle voie douce d'Europe. Et, arrivé en dernière minute, un article sur les subventions.

 

Bonne lecture

 

François Champelovier

Commentaires

  • Dans son édito, François fait la remarque que le village soit endormi. C'est un peu le cas partout à cause de la pandémie. Cette langueur devrait nous donner l'occasion de nous rappeler de la chance incroyable que les gens de Saint-Martin de Valamas ont eu de connaître Vincent, qui avec son piano-bar "La Forge" a animé de longues années le village tous les samedis et les mois d'été créant une animation permanente avec un lieu qui n'avait pas d'équivalent et qui était une anomalie culturelle pour une si petite commune et un lieu de rencontre exceptionnel...

  • Oui Georges, grâce à Vincent à toi et à tous les bénévoles St-Martin a vécu une période faste en ce qui concerne la musique. La pandémie actuelle n'explique qu'en partie la léthargie dans laquelle se trouve le village. Comme je l'écris, d'autres villages prennent la responsabilité de donner l'autorisation à l'organisation d'évènements.

  • À St Martin, l'eau douce est devenue salée, plus exactement, c'est la facture qui est salée... En 1975, je payais 1.37 F le mètre cube (soit 0.21 E) tout compris, abonnement, taxes. En ces temps anciens, l'eau était en régie municipale, système qui donnait entière satisfaction et auquel de nombreuses communes reviennent.
    En 2021,pour 1 mètre cube je paye 6.75 E tout compris, abonnement, taxes, assainissement.
    Quel progrès !

  • Je ne peux qu'être d'accord avec votre commentaire. Si j'ai bien compris, le prix de l'eau n'a pas fini d'augmenter. Nous nous sommes fait l'écho plusieurs fois dans ce blog de cette question. Les communes, alors qu'elles auraient pu s'y opposer ont voté à une grande majorité pour la privatisation, sans consulter la population alors que l'eau est un bien commun. La privatisation de l'air est certainement la prochaine étape !

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