L'année commence comme l'autre vient de finir et on espère sans trop y croire que la nouvelle sera meilleure. On fait des vœux. Bonne année, surtout la santé. Bien sûr la santé, mais n'a t-on pas aussi besoin d'un peu de bonheur de joie ou d'espoir. Difficile en cette période. Ce n'est pas seulement les effets de la pandémie, du réchauffement climatique, de la situation en Ukraine avec des menaces de guerre nucléaire, des prix de l'énergie, de l'inflation, de la peur d'une crise économique ou de la monté des racismes qui donnent l'impression de ne pas pouvoir en sortir mais le fait que tous ces événements se déroulent en même temps. On peut essayer de fuir ces réalités, on peut se dire qu'il faut profiter autant qu'on peut et tant qu'on peut de la tranquillité et d'une certaine sécurité que nous offre nos vallées et nos montagnes mais, on peut également à titre individuel ou en se rassemblant voir, à notre échelle, sur quels événements on peut exercer une influence. On peut aussi, certes dans un cercle restreint, trouver l'amitié, l'amour tout en étant conscient de toutes les horreurs de ce monde sans les oublier.
« Vivre, c’est apprendre à ne pas attendre que l’orage passe, vivre ,c’est apprendre à danser sous la pluie » (Sénèque)
Toute l'équipe de ruedespuces vous souhaite une bonne année 2023
Dans ce premier numéro de l'année :
-Comment on s'habillait dans les Boutières autrefois.
-Des documents relatifs aux séances des conseils municipaux.
-Des députés qui font de l'humour.
-Des vérités sur les gens.
-Un conte et un poème.
-Une question sur les Anglais
-Et un petit cadeau pour nozainé(e)s: une rétrospective des actrices holliwoodiennes des années 60.
François Champelovier