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  • Somme-toute un bel été !

     

    Comme nous sommes de bons français, nous adorons râler, et surtout râler après les autres car nous sommes, c’est bien connu, irréprochables en tout. 

    Mais en faisant le bilan de l’été, j’ai du mal à trouver un sujet qui fâche, en partant du temps au beau fixe, en passant par deux festivals enchanteurs et en finissant par un village actif, rien que du bonheur. Bien sûr un esprit chagrin peut regretter la fermeture de la Condamine ou une petite pollution de l’Eysse à l’huile de friture, mais franchement dans l’ensemble c’est pas mal. Beaucoup de bourgs beaucoup plus grands (certains d’ailleurs très proches) nous envient le dynamisme de notre village où il se passe presque toujours quelque chose. En plus le pays est vraiment très beau, mes enfants me traitent de chauvin quand je dis « le plus beau du monde », alors oui il y a de très belles choses ailleurs, mais quand même, après avoir pas mal voyagé, je n’ai pas rencontré d’endroits aussi diversifiés, complets, et beaux. Plus grandioses sûrement, plus hauts, évidement, plus grands certainement, mais offrant une telle diversité et de tels panoramas jamais.

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    En plus ils n’avaient ni les caillettes, ni les criques ou les rattes, encore moins les faisselles de chèvre frais. Des alcools sûrement, mais pas un bon jaune à la terrasse d’Isabelle ou de Pitt en compagnie de la moitié du village (l'autre moitié étant bien sûr dans l'autre bistrot) et surtout des copains de la classe. Donc j’assume, le plus beau pays du monde, je dirais même mieux, le plus beau et le mieux habité! 

    Donc un bel été somme-toute, et un été qui recharge les batteries pour un an, qui réconcilie l’homme avec son environnement (et la femme aussi), un été qui prouve si besoin était que les saint- martinois ont la vie de leur village chevillée au cœur et qu’ils sont toujours présents pour participer, quel que soit leur sexe, âge, couleur politique et que sais-je encore. 

    Alors merci à vous tous, que dis-je merci à nous tous pour un été réussi, et commençons à travailler pour que l’été prochain soit de plus en plus beau et de plus en plus long. Le village sera ce que nous déciderons d’en faire 

    Régis L. Duchamp 

    RLD

  • Le tourisme dope l'économie ardéchoise

     

    Avec une contribution à hauteur de 12 % au PIB départemental, le tourisme est le deuxième secteur de l'économie ardéchoise, derrière l'agriculture, soit un poids plus important qu'au niveau national et régional. Ses promoteurs croient en ce vecteur de croissance et diversifient ses pratiques.

    Connue pour sa fréquentation abondante et concentrée durant les deux mois d’été dans sa partie méridionale, l'Ardèche souhaite aussi développer un tourisme différent, basé à la fois sur ses atouts industriels et naturels. Juste à l’écart des grands flux de la vallée du Rhône, la vallée de l’Eyrieux par exemple s’impose comme l’un de ces hauts lieux de la découverte simultanée du savoir-faire local et d’une nature grandiose et sauvage.

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    On y trouve la vallée du bijou, labellisée Dolce Via, l’une des ramifications de la Via Rhôna, qui héberge désormais l’Atelier du Bijou, inauguré début avril, à Saint-Martin de Valamas, ainsi qu’un festival biennal dédié à la fabrication de ces objets de parure et de décoration, dans cette bourgade dominée par le massif Gerbier-Meyzenc. « Aujourd’hui, la vallée de l’Eyrieux fait partie de nos circuits touristiques émergents », relève Nathalie Sisteron, responsable de la promotion auprès d’Ardèche Tourisme.

    Pratiques culturelles, artistiques et créatives

    Des initiatives qui doivent conforter les chiffres de l'économie touristique départementale et encourager les investissements. En moyenne, sur les trois dernières années, ce sont 77,77 millions d'euros qui y ont été engagés annuellement. En 2018, avec près de 300.000 lits touristiques, l’Ardèche a comptabilisé 4.443.000 nuitées, dont les deux tiers proviennent de la fréquentation française (Ile-de-France, Hauts de France, Auvergne-Rhône-Alpes…), le dernier tiers arrivant de l’international (Pays-Bas, Belgique, Allemagne…).

    Développer les aspects culturel, patrimonial et environnemental permettrait d’étirer les saisons, tout en rééquilibrant l’accueil qui est majoritairement capté actuellement par l’hôtellerie de plein air, pour 61 % de sa capacité. Et aussi d'accroître la durée moyenne de séjour qui se situe dans le département à 4,5 nuits

    • Aimé Delorme

  • Les Chemins Oubliés

    Les randos du mardi en Juillet et en août ont de nouveau trouvé un grand public. Celle du mardi 13 août a réuni une quarantaine de marcheurs. Pour monter au château de Rochebonne, 2 chemins étaient proposés : Un montant directement par le GR à partir de la Dolce-Via et l'autre un peu plus long, par Riotord et Darne-Bessac arrivant vers la cascade au dessous du château. Les deux groupes se sont retrouvés au croisement de la route de Rochebonne et la rue des Blaches pour un pique-nique. L'association « Les Chemins Oubliés » avait servi le repas préparé par les bénévoles sur des tables amenées de St-Martin. Ce repas, prévu sur la plate-forme au dessus du château avait été déplacé un peu plus bas à cause du vent. A l'arrivée à St-Martin une boisson fut offerte aux randonneurs à la Glycine.

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    La montée au dessus de Riotord

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    Dans le village de Rochebonne

     

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