Comme si les menaces de reprise du virus ou les signes du dérèglement climatique ne suffisaient pas, cet été commence avec une météo capricieuse et de nouvelles contraintes sanitaires.
Malgré l'arrivée des touristes, le village est endormi,. Le feu d'artifice du 14 juillet* et les embouteillages du Garail semblent être les seules attractions de l'été. Saint-Martin-de Valamas, le village des musiciens, qui n'a même pas célébré la fête de la musique verra son beau festival de musique réduit à une soirée (covid oblige) Les seuls lieux dynamiques sont :la Cerreno où l'arrivée des beaux jours a été fêté le 7 juillet et la Nouvelle Manufacture avec son festival de dessin et autres manifestations. Heureusement, au Cheylard et dans les villages environnants concerts, pièces de théâtre ou autres événements sont nombreux et semblent moins affectés par les mesures sanitaires.
* (Après l'annulation du feu d'artifice il ne reste plus que les embouteillages.)
A treize heures, la cloche de l'église sonne une fois
A quatorze heures, la cloche de l'église sonne deux fois
A quinze heures, la cloche de l'église sonne trois fois
Toutes les heures
A Saint-Martin-de-Valamas
Quelque chose se passe
Même pendant les vacances, sans passe sanitaire ni masque « ruedespuces » vous accompagne ! on y retrouvera le feuilleton (Et si le monde de demain n'était pas du tout à la hauteur de nos espérances ?), la suite des billets consacrés aux débuts du tourisme dans notre région, en plus d'autres articles sur les effets météorologiques des dernières décennies ou sur l'exode des huguenots, une petite leçon de linguistique et bien sûr notre rubrique « j'ai lu » et enfin une nouvelle contributrice nous parle de la plus belle voie douce d'Europe. Et, arrivé en dernière minute, un article sur les subventions.
Bonne lecture
François Champelovier