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« les membres du Gouvernement et du Parlement ont , outre le droit d’amendement , celui de s’amender publiquement , dont , d’ailleurs ils n’usent pour ainsi dire jamais . »
« En dépit de leurs prétentions présomptueuses , les membres actifs des partis du centre ne sont pas pour autant les plus virils du Parlement . »
Rivarol :
« La société est composée de deux grandes classes : ceux qui ont plus de dîners que d’appétit , et ceux qui ont plus d’appétit que de dîners . »
« Dans un salon où la conversation languissait . - Laissons dormir M. de Rivarol , ne parlons plus ! Et Rivarol ouvrant un oeil : -Si vous ne parlez plus , comment voulez-vous que je dorme ? "
Trouver un sujet pour ce vingt deuxième éditorial : Parler de la covid ? Bof, d'autres s'en chargent, et puis que dire qui n'a pas encore était expliqué puis démenti ? Rendre compte du travail de la nouvelle équipe municipale ? Laissons-leur le temps de s'installer et puis, cela reviendrait également à évoquer les problèmes d'organisation provoqués par le virus. La rentrée scolaire ? Il faudrait aussi parler des masques imposés aux enseignants et aux élèves... Bon, on pourrait aussi se plaindre de la sécheresse et du manque d'eau, ce ne serait pas original puisque le problème est général et ne concerne pas que notre région, bien que ça aurait l'avantage de faire oublier le sujet que nous voulons éviter. Et pourtant, impossible de l'ignorer ce sale virus, quand pourrons nous à nouveau postillonner librement ? Quand pourrons nous nous embrasser, nous serrer la main ou voir les gens sourire ?
Quant à la bonne fréquentation touristique de nos villages cet été (grâce au virus!) nous essaierons de dresser un bilan au mois d'octobre.
Tout ça pour dire qu'en cette période perturbée qui se prolonge il est difficile de trouver des sujets susceptibles de ne pas trop nous démoraliser.
Heureusement, les fidèles contributeurs et contributrices de ce blog sont plus inspirés que l'auteur de cet éditorial, à l'image de notre correspondante à Paris qui nous donne une leçon d'optimisme dont nous avons bien besoin. Nous publions un texte de Georges Verat qui est une suite de son histoire de la musique qui nous parle de guitares en carton et de Saint-Martin. Saint Martin qui, pour un fidèle contributeur est devenu le centre du monde alors qu'un autre nous informe sur son architecture. On reste à St-Martin avec un sujet sur le succès de la Dolce Via. Puis un billet plus philosophique « Le bonheur eus-il une question d'argent » est proposé à notre réflexion quand un autre billet nous explique que son auteur n'a pas tout compris !
Nous présentons nos excuses à ceux et celles qui ont reçu le dernier message annonçant la parution de « ruedespuces » n° 21 sans le lien. http://ruedespuces.hautetfort.com/