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ruedespuces - Page 242

  • La pensée du mois

    Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.

    Albert Einstein

  • Editorial 6

    Editorial 6

    « rue des puces » a déjà 6 mois. Le bébé se porte bien et donne satisfaction à ses géniteurs. Nous souhaiterions néanmoins qu'il grandisse encore.

    Notre carnet d'adresses a ses limites (autour de 150 mails sont envoyés chaque mois) aussi avons-nous besoin de vous pour élargir le champ de nos lecteurs. N'hésitez donc pas à envoyer le lien à vos amis qui pourraient-être intéressés par des nouvelles de St Martin et de ses environs.

    Dans ce numéro du mois d'avril nous inaugurons une nouvelles rubrique : « Idées à la con » et attendons avec intérêt vos réactions !

    Nous insistons encore une fois : Les articles que nous publions sont de la responsabilité de leurs auteurs. Nous n'avons aucune ligne éditoriale. Chacun est libre d'exprimer son opinion, de même, chacun a le possibilité de commenter et de donner son avis. Depuis le début, ce blog se veut inter-actif.

    Nous remercions les contributeurs qui permettent à ce modeste mais néanmoins formidable blog d'exister.

    Bonne lecture.

    François

  • Idées à la con

           Chapitre I: RENDRE LE VOTE OBLIGATOIRE

    C'est une lubie qui revient régulièrement ces dernières années parmi le personnel politique, sans doute inquiet des piètres participations citoyennes aux consultations électorales. Avancer cette proposition, c'est vouloir faire tomber la fièvre en cassant le thermomètre. La véritable question que  l'on doit se poser est « Pourquoi la participation est-elle si faible? ». Et il existe deux réponses possibles.



    1)L'élection proposée n'offre aucun intérêt (ou extrêmement faible):c'est le cas des élections au Parlement européen (pas d'enjeu véritable, vu le faible pouvoir de celui-ci, flou des programmes, sans parler du mode de scrutin dans lequel la plupart des candidats sont de parfaits inconnus. Cela peut être aussi le cas des élections au Conseil départemental, en milieu urbain notamment.



    2)Le choix offert par les programmes ou les candidats n'est pas satisfaisant : trop flous, pas assez d'engagement, manque de crédibilité, trop grande proximité des programmes entre eux... C'est le cas  de pratiquement toutes les élection désormais, à quelques exceptions près.



    Comme on le voit, ce n'est pas l'électorat qui est en cause, mais bien l'inconsistance ou la vacuité du choix qui lui est proposé. Alors, plutôt que de créer arbitrairement une obligation supplémentaire (par ailleurs difficile à mettre en oeuvre), il serait plus pertinent que le personnel politique, les partis , les candidats songent à faire leur autocritique et à proposer autre chose que des programmes aussi indigents que soporifiques!



                                                                  Gilbert VERDIER