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ruedespuces - Page 237

  • Saint Martin 1950 (suite)

    L'article de Georges Verat du mois de mai, sur les surnoms de Saint-martinois a suscité beaucoup de réactions et certains ont cherché ceux dont ils se souvenaient. Max Imbert s'est même relevé la nuit pour noter ceux qui lui revenaient à l'esprit, afin de ne pas les oublier. Voici une liste établie par ses soins, que d'aucuns pourront compléter.

     

    Mémèche : Aimé Valette du Garail

    Fredillon : Freydier du passage à niveau

    Jacquou : Jacques Brolles de la Plaine

    Nicoud : Nicolas Henri père de Titou

    Brulefer : Maréchal Ferrant au Garail

    Bouillotte : Désouche ferblantier au Garail

    Coulassou : Arsac Bourrelier au Garail

    Tonin : Reynaud Charron au Garail

    Coulassoune :Epouse de Coulasson

    Riquita : Teyssier de l'Hôtel de la Gare (Il chantait souvent ce succès de Berthe Silva)

    Baha : Gérard Boyer au Garail

    Le Bourru : ou Maco : Robert masson

    Paco : Frère de Baha

    Le Hulan : Croze  Maçon au garail

    Missou : Alligier Charcutier (Garail)

    Manillon : Michel Béal au garail

    La Missoune :Epouse de Missou

    Le Bil : Frère de Manillon

    Doudou : André Béal

    Mozi ou La Moze : Maurice Brun de la Place (frère de M.H. Capeillère) Suite à une opération à                                     l'hôpital Moze de Saint-Agrève 

    Louyasse : Debard de la place, Fermier, Paysan avec vaches entre la mairie et la Mairie annexe

    Le Clem : René Gineys du Garail, fils de Clément Giney

    Coopé : de Moulin, bois de chauffage et Epicerie coopérative

    Kané : Fils ainé de Coopé

    Grandet : Fils du Grand Agier (Garage Peugeot)

    Tonton : De Limis René Cornu

    Jeandou : Jean Nouzet (du Bourget?)

    Drianou : Adrien Nouzet du Garail (près de chez Mémèche)

    Polon : Michel et Claude Pauchelon

    La Zizi : Leur mère, de la Plaine

    La Flèche : Lili Bérard pour sa vélocité au foot

    La Popo : Paule Sabatier, Rue de la poste. Cycles Sabarier, Organiste à l'église

    Momon : Edmond Collange du Garail

    Momon : Bernard Chapus fils de l'Enfer

    La Mimosette : Nom ? Tricottait à la demande en marchant dans la rue

    La Babeloune : ?

    La Maille : Thierry Marion de la Gare +

    La Légion : Luc Charreyron de la Teyre +

    Pataflow ou Poulse : Michel Pourtier de Fondeysse +

    La Rirette : Riri Colomb des Chambas

    Néné Armand : frère de Raymondou

    Titou et valou : Alain Haond et Valérie Sabatier, personnage d'une magnifique chanson de Xavier Raymond +

    Pipette : Debard de Sauveyre (Facteur)

    Le Big : Jean-Luc Plantier de Crezenoux +

    Tic : Mathon de la Rue Royale, pour le son de sa canne à embout en métal

    Pichon : Père de Louitou Coste

    Bain : Autre Coste de Valamas

    Marseille : Yves Lebon qui passait ses vacances à St . Martin dans ses jeunes années

    Jazy : Annick lebon en référence à Michel jazy parce-qu'elle courait beaucoup

    Béru : Pierre Ageron. Habite la maison de la Popo +

    Piki : Frère de Beru +

    Kanou : Frère de Piteau et de la Pitoune Dussaud du Bois lantal +

    La Bache : Fils de Nicoud, frère e Titou Nicolas +

    Tringlon : René Béal frère de Manillon et du Bil (cités plus haut)

    Duduche : Michel ? +

    Momo : Pascal Morel de la Croix Lapierre +

    Zorba : Marc Cavallaro oncle de Greg

    Bédus : Fils aîné Rochette du Garail

    Popaul : Paul Freydier du Garail

    Lilou : Fils de Lilou et Madou Giraud de la Plaine +

    L'Abeille : Dani Pizot Café de la Place et Assurance L'Abeille

    Négrillon : Boulangerie de la Tour, père de Jean-Paul et Maro Alligier, pour la couleur et le logo de sa Juva 4. « Café Négrillon.

    Flafla : J.Pierre Flassaayer, frère de Lucette Imbert

    Jackson : Patrice Jacquet d'Armanas +

    Pompidou : Marcel Marion d'Armanas, musicien, batteur

    La Graille : Christian Chapus, frère de Momon, fils de l'Enfer +

    Fifi : J.P. Philibert +

    La Nifle : Paul Chauvy Bistrot La Place

    Le Nans : Bernard Philibert, fils de Nanou, frère de Fifi

    Mickey : Michel Debard de la Plaine

    Doud : Dominique, frère de Mickey

    Michou : Michel Chalencon de la Plaine

    Jimmy : Alain Clot, surnom qui passa à son frère Thierry

    Jacou : Jacques Brolle de la Plaine

    Goude ou Goudar : Bernard Nicolas de la Teyre et des Durands, frère de Marie-Paule

    Mémé : Aimé Faure de Crézenoux

    La Yanette : Eliane épouse de Mémé (qui a donné son nom à la Gardéliane, ancienne maison de ses parents donnée à la commune) Hôtel de la Gare

     

    Des compléments, des précisions, voir même des corrections peuvent être apportées.

    Les + sont pour les générations 60/70

     

    Max Imbert

  • Camping La Teyre. Interview.

     

    Monsieur Florian Mouglalis nous reçoit à la réception du camping La Teyre à St-Martin-de- Valamas

     

    « ruedespuces » : Le camping la Teyre est-il un camping municipal ?

     

    Florian Mouglalis : Non, depuis 2011 c'est un camping privé.

     

    « rdp » : Combien de places comporte le camping ?

     

    F.M : 40 dont 20 emplacements pour les tentes, les caravanes et les camping-cars. Il y a aussi 10 places qui sont occupées à l'année.

     

    « rdp » : Vous avez aussi des équipements en location ?

     

    F.M. : Oui 3 mobile-homes (dont 2 nouveaux) 4 bungalis, et une caravane. WP_20190604_15_08_52_Pro.jpg

     

    « rdp » : Au cours de la saison 2018, combien avez-vous eu de visiteurs ?

     

    F.M : 2230 adultes et environ un millier d'enfants.

     

    « rdp » : D'où viennent vos clients ?

     

    F.M. : La plupart viennent de la Vallée du Rhône et pour les étrangers :Les Anglais sont les plus nombreux, puis viennent les Belges, les Néerlandais et les Allemands.

     

    « rdb » : Combien de temps restent les gens en général ?

     

    F.M. : En juillet et août une semaine, hors saison environ 4 nuits.

     

    « rdp » : Quel rapport avez-vous avec les habitants du village et les commerçants en particulier ?

     

    F.M. : D'excellents rapports et de très bonnes retombées. La proximité du plan d'eau est un gros avantage ainsi que celle du restaurant « Le Montagnard ». L'Office de Tourisme vient régulièrement apporter des prospectus et des informations. La Dolce Via amène également beaucoup de monde.

     

    « rdp » : Vous êtes donc satisfait ?

     

    F.M. : Oui, très satisfait.

     

    « rdp » : Organisez-vous pendant la saison quelques activités ?

     

    F.M. : Oui, deux spectacles de magie et deux concerts. De plus, les samedis (à partir du 22 juin) un camion pizza est présent au camping.

     

    Ensuite, Florian Mouglalis nous accompagne pour une visite du camping. Les 2 nouveaux mobile-homes en bois sont loués depuis leur arrivée au mois de mai, une terrasse est déjà installée devant chacun, (ils offrent la place à 4 ou 6 personnes) les Bungalis sont de grandes tentes spacieuses. Les emplacements sont grands et l'herbe qui les sépare vient d'être tondue. Sur le toit des sanitaires des panneaux solaires livrent l'eau chaude. Un endroit est aménagé pour les enfants avec bac à sable et jeux. Pour les grands il y a un jeu de boules. Par un petit chemin on descend à la rivière. On peut même regagner directement le plan d'eau.

     

    Nous remercions Monsieur Mouglalis pour son accueil.

     

    Pour plus de renseignements vous pouvez aller sur le site internet : http://www.camping-la-teyre.fr.

    Arrivée des mobile-homes au camping !

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    mobil home 2.jpg

  • Idées à la con

             RENDRE LA SYNDICALISATION OBLIGATOIRE

    Une nouveauté ! Présentée par un obscur député macroniste, cette proposition mérite une belle médaille d'or de la bêtise. Outre le fait qu'on aimerait connaître les faits d'armes du citoyen Taché (c'est son nom) en matière de syndicalisme, elle va à l'encontre de ce que fut -et reste parfois encore- celui-ci (1). Pour répondre à la baisse de la syndicalisation en France (mais pas seulement), il faut s'interroger sur ses causes. Elles sont essentiellement de deux ordres:



    1)L'émiettement du paysage syndical français:plusieurs centrales s'affrontent et se concurrencent (souvent en vain): CGT, CFDT, FO, UNSA, FSU, SUD...Loin de favoriser la syndicalisation, cet éparpillement rebute les salariés, alors que les revendications sont souvent les mêmes, et nuit en conséquence à l'efficacité du mouvement syndical.



    2)Mais le plus grave est sans doute l'affadissemnt des syndicats (d'aucuns diront même la domestication), qui ont oublié ce que comportait le syndicalisme des origines: défense des intérêts matériels immédiats des salariés, certes, mais aussi contestation d'un mode de production déshumanisant, et partant, recherche d'un type de société basée sur des rapports sociaux plus fraternels. Aujourd'hui, on a l'impression que l'activité syndicale se résume à défendre (souvent fort mal d'ailleurs) des acquis essentiellement financiers.



    Alors, non , on ne réglera pas le problème du syndicalisme avec une mesure-gadget. Le mal est plus profond (2). Pour en venir à bout, il faudra du temps, de la patience et de la volonté: il n'y a pas d'autre issue.



      (1)Les pionniers du syndicalisme doivent se retourner dans leurs tombes, eux pour qui l'adhésion  à un tel groupement était un acte volontaire, conscient et souvent ...risqué!



       (2)On pourrait aussi citer comme causes de désyndicalisation: le rétrécissement de la démocratie interne, ou encore une professionnalisation à outrance (pléthore de permanents) au détriment du militantisme de terrain.




                                                             Gilbert VERDIER